Keny Arkana - «Les chemins du retour»
Paroles:
Prisonniers dans la peur qu'on nous inculque
Laisses-les nous mépriser, nous appeler jeunes et incultes
C'est la maladie du siècle
Dans le coeur...?
Les terriens sont en terreur
Ont enterré ce qu'ils (?) de déshumain
Ca fait un bail qu'on a tout blancé dans la fosse
Comment a-t-on pu zapper que l'amour était le moteur de notre propre force?
On s'renferme tous malheureux dans nos p'tites cases
La vie se cache dans chaque recoin,
Même des plus petites phrases
Veille sur ton coeur
(?)
Faut garder sa vigilance pour ne pas s'éloigner de soi
Chaque instant est une prière
Prends soin de tes pensées
Demeure (?) et sensé
Pour ne plus broyer de la pierre
Le système est un mirage
Les barrières illusoires
Les angoisses sont des vibes auxquelles Babylone veut nous faire croire
Le coeur détaché, tout commence dans la tête
La révolution totale n'est pas qu'un but,
C'est un chemin et un quête
[Ref]
On doit redevenir humain (x5)
Les barrières sont dans nos têtes
Les limites dans nos coeurs
Travailler profond (?) pour s'émanciper de l'horreur
Après des siècles d'aliénations
Après des siècles d'abérations
On s'est construit nos propres prisons
Enfermés dans les forteresses de nos égos
La vie ne passe plus à travers
On se sent mourir, on sort les crocs
On s'entretue et on s'oublie en accusant autrui
On brûle nos rêves de notre plein-gré pour libérer nos cris
demis hommes (?) on a des clous au bout de nos ailes
La vraie révolution sera le changement de nos êtres
La force est e nous même, secret de la création
Entends les anges à ton oreille te souffler la mission
Cherches la pureté en ton coeur
Vu que l'horreur nous encercle
Trésors enfouis, secrets de nos ancêtres
Mémoires oubliées dans un coin d'évolution
Enfants de l'Humanité, on porte en nous la Solution
[REF]
La machine nous a apprit à ne pas sourire dans la rue
A ne pas voir le pauvre qui crève en demandant de l'aide
Elle nous a enseigné que l'amour etait une faiblesse
Tout comme les larmes
Et que les faiblesses n'ont pas de place dans leur système
Violente, elle nous a formé à encaisser les coup
Clamant le chacun pour soi
Et le diable pour tous
Elle nous a apprit à ne pas regarder son voisin
Parcours comparé, et puis à jalouser son pain
Elle nous a dénaturé jusqu'à ce qu'on banalise le mal
Qu'on glorifie le diable et qu'on en sous-estime le drame
Convaincu que pour vivre à Babylone, il ne fallait plus être un Humain
Mais un être un robot ou un clone
Elle a fait de nous ses enfants
Redessinés à son image
Aussi gris que l'ensemble de son rivage
Enfants de Dieu
L'Amour et la Mémoire seront nos armes
Sur les chemins du retour, vers la vérité de nos âmes
- Pascal Obispo - «Le drapeau»
Paroles:
Sans étoile, ni couronne, ni fleur
Que dans l'air, flotte une même couleur
Couleur
Chants d'amour, chants de bataille
Il n'y a qu'une guerre à faire aujourd'hui
Aujourd'hui
Tous le même drapeau (x2)
Un signal, un emblème vainqueur
Sur nos dérives et nos erreurs
Prends le monde et prends tes armes
Prends soin du lendemain qui arrive
Qui arrive
Cherche pas d'autres batailles
Il n'y a qu'une guerre à faire aujourd'hui
Aujourd'hui
Tous le même drapeau (x4)
Avec moi et l'armée des fleurs
On rêve aussi du meilleur
Chants d'amour, chants de bataille
Il n'y a qu'une guerre à faire aujourd'hui
Aujourd'hui
Tous le même drapeau (x2)
Chants d'amour, chants de bataille
Il n'y a qu'une guerre à faire aujourd'hui
Aujourd'hui
Tous le même drapeau (x5)
Il n'y a qu'une guerre à faire aujourd'hui
Tous avec le Captain Samouraï Flower
Au revoir!
vendredi 27 novembre 2009
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